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vendredi 16 mai 2014

Stress, compromis et émerveillements

16 mai 2014

Oh que la période est stressante !

Il nous faut réunir tous les documents nécessaires pour le prêt bancaire : devis, plus les marchés de travaux (les contrats établis par l'architecte, maître d'oeuvre, entre chaque artisan et nous-mêmes), avec des montants évidemment cohérents. C'est un véritable casse-tête et le temps presse, les premières factures arrivent !

vendredi 14 mars 2014

Massacre à la tronçonneuse

14 février 2014

Pascal et mon père, armés d'une tronçonneuse de compète ont coupé les arbres "en trop" dans le jardin (je l'appelle le jardin depuis peu).

Les trois grands pins infestés de chenilles processionnaires, trois ou quatre thuyas franchement vilains et quelques autres arbres qui trônaient au beau milieux du futur salon...

Les artisans qui viendront pour la construction seront ensuite chargés de déblayer les deux immenses tas de branchages restés sur le terrain.

En attendant, Ulysse contemple ces montagnes !


mardi 11 février 2014

Contretemps... etc.

11 février 2014

Nous avons reçu le courrier quelques jours avant Noël.

Notre demande de permis de construire a été refusée.
Tout net.
Sans autre forme de procès.

Quelle déception ! Nous ne nous y attendions pas. Mickaël Tanguy avait pourtant suivi rigoureusement les termes du PLU.

dimanche 25 novembre 2012

Points de suspension

25 novembre 2012

Arrêtés en plein vol.

Ce fut un coup de massue. Nous n'aurons pas le prêt immobilier que nous espérions.
Nous savions que nous avions un dossier un peu compliqué, mais nous avions tout de même un petit espoir qu'une banque nous suive.
Et bien non.
Pas là, pas tant que P. n'aura pas un contrat plus long (voire une titularisation comme aide-soignant), pas tant que je n'aurai pas trois années d'activité indépendante (les joies de l'auto-entreprise)... pas tant que les banques seront si frileuses.

Passées la colère et la tristesse, il a fallu réfléchir à ce que nous allions faire :
Tout abandonner : se retirer de l'achat du terrain, annuler le projet avec l'architecte, et tout recommencer peut-être un jour, ailleurs.
S'accrocher : acheter malgré tout le terrain, ne mettre qu'en suspend le projet architectural, et patienter le temps qu'il faut (peut-être des années) pour avoir le financement.

La première solution est un déchirement, mais semble libératrice : on n'en parle plus, on tourne la page, et on verra plus tard si nous avons encore le courage de nous lancer de nouveau (quitte à se casser les dents, encore une fois).
La seconde solution est angoissante car elle nous oblige à nous accrocher à un mince espoir, au risque de sans cesse recevoir un refus et de se retrouver avec un terrain sur les bras dont on ne pourra rien faire (sauf le revendre).

Mais ce terrain, on l'aime, nous nous y sommes projetés.
Ce projet de maison, on se l'est approprié, c'est déjà notre maison.

Alors tant pis, on y va quand-même. On n'annule pas la vente, et nous verrons dans quelques mois si une banque daigne nous soutenir.

En attendant, le blog est entre parenthèses et se met en hibernation.